Those are spray cans in case your eyes are failling you. This dude is nuts!
" Ce sont bien des spray, au cas où vos yeux vous lâchent. Ce type est Dingue."
The Overspray magazine Fishbowl
Graffiti tools use to create graffiti inspired sculpturs. This has to be the most creative and relevant uses for empty spray paint cans ever.
" Les spray utilisés pour le graffiti ont inspirées des sculptures. Ceci doit être l'utilisation la plus approprié et la plus créatrice jamais vue pour les spray vides de peinture. "
Animal New York Magazine
" Ce sont bien des spray, au cas où vos yeux vous lâchent. Ce type est Dingue."
The Overspray magazine Fishbowl
Graffiti tools use to create graffiti inspired sculpturs. This has to be the most creative and relevant uses for empty spray paint cans ever.
" Les spray utilisés pour le graffiti ont inspirées des sculptures. Ceci doit être l'utilisation la plus approprié et la plus créatrice jamais vue pour les spray vides de peinture. "
Animal New York Magazine
1965 France
Tieri Trademark s’aventure dans l’art des « incompressions » depuis 2004. Cette démarche, totalement contemporaine dans l’esprit et l’allure, traduit un cheminement lié à une première approche du graffiti par le biais de la photographie. L’outil devient œuvre, reprenant en cela une tradition très ancienne en art, qui donne à l’artiste la maîtrise du geste et de la forme.( ....) Ici, plus que la réalité d’une époque, Tieri Trademark magnifie la réalité d’un art, le graffiti. Ce dernier n’étant pas toujours reconnu comme un « grand art », il est ramené dans le giron de l’art« digne des galeries ». Le "Ghetto blaster t" incarne parfaitement cette idée, nous ramenant aux années 1970-1980. L’art de Tieri Trademark est à la fois léger et nostalgique, coloré, vivant et atemporel, comme figé dans le temps. Il évoque le geste du graffeur, à la fois rapide et précis, la culture urbaine dans son ensemble. Le jeu avec les matériaux et les supports, la tridimensionnalité de ses «incompressions » ancre dans la réalité un outil appelé normalement à disparaître, un peu de la même façon que les tags bien souvent balayés rapidement dans les villes modernes. Une réflexion intéressante, moderne et qui mérite le détour car on sent bien que l’univers de l’artiste n’a pas fini de nous étonner .
Catherine Martin-Fauconnier Docteur en histoire de l’art
Maître de conférences à l’Isfec Aquitaine - Auteur et critique chez Aristoî Gallery.
Passionné inconditionnel de Graffiti dès les années 80, Tieri Trademark en pénètre l'univers par la photographie à laquelle il s'essaie avec brio de nombreuses années au sein du TDM crew. Au travers de ses photographies il met à nu la genèse de ses œuvres dévoilant en filigrane la palette des différents facteurs qui en composent l'univers. (…) Il décline alors les outils en sculptures et façonne par la compression manuelle une relecture métaphorique du champ lexical du graffiti. Il n'est rien de plus difficile que de poser des mots sur ce que l'on exprime par le biais d'une approche esthétique, de décliner les pigments et textures qui fixent sa singularité. Mais les mots ne sont pas nécessaires tant son œuvre est éloquente...Elle conte les territoires prospectifs sur lesquels les objets usuels qu'il a choisis renaissent en un « nouveau répertoire expressif »*. Il réinterprète la matière et transforme l'outil au travers de ses « incompressions », nées en 2004, qui, tant par les matières qui les composent que par les références dont elles sont empreintes, ont une résonance résolument contemporaine.
BVDC Journaliste indépendante.
*(Pierre Restany, A 40° au-dessus de DADA)
Tieri Trademark s’aventure dans l’art des « incompressions » depuis 2004. Cette démarche, totalement contemporaine dans l’esprit et l’allure, traduit un cheminement lié à une première approche du graffiti par le biais de la photographie. L’outil devient œuvre, reprenant en cela une tradition très ancienne en art, qui donne à l’artiste la maîtrise du geste et de la forme.( ....) Ici, plus que la réalité d’une époque, Tieri Trademark magnifie la réalité d’un art, le graffiti. Ce dernier n’étant pas toujours reconnu comme un « grand art », il est ramené dans le giron de l’art« digne des galeries ». Le "Ghetto blaster t" incarne parfaitement cette idée, nous ramenant aux années 1970-1980. L’art de Tieri Trademark est à la fois léger et nostalgique, coloré, vivant et atemporel, comme figé dans le temps. Il évoque le geste du graffeur, à la fois rapide et précis, la culture urbaine dans son ensemble. Le jeu avec les matériaux et les supports, la tridimensionnalité de ses «incompressions » ancre dans la réalité un outil appelé normalement à disparaître, un peu de la même façon que les tags bien souvent balayés rapidement dans les villes modernes. Une réflexion intéressante, moderne et qui mérite le détour car on sent bien que l’univers de l’artiste n’a pas fini de nous étonner .
Catherine Martin-Fauconnier Docteur en histoire de l’art
Maître de conférences à l’Isfec Aquitaine - Auteur et critique chez Aristoî Gallery.
Passionné inconditionnel de Graffiti dès les années 80, Tieri Trademark en pénètre l'univers par la photographie à laquelle il s'essaie avec brio de nombreuses années au sein du TDM crew. Au travers de ses photographies il met à nu la genèse de ses œuvres dévoilant en filigrane la palette des différents facteurs qui en composent l'univers. (…) Il décline alors les outils en sculptures et façonne par la compression manuelle une relecture métaphorique du champ lexical du graffiti. Il n'est rien de plus difficile que de poser des mots sur ce que l'on exprime par le biais d'une approche esthétique, de décliner les pigments et textures qui fixent sa singularité. Mais les mots ne sont pas nécessaires tant son œuvre est éloquente...Elle conte les territoires prospectifs sur lesquels les objets usuels qu'il a choisis renaissent en un « nouveau répertoire expressif »*. Il réinterprète la matière et transforme l'outil au travers de ses « incompressions », nées en 2004, qui, tant par les matières qui les composent que par les références dont elles sont empreintes, ont une résonance résolument contemporaine.
BVDC Journaliste indépendante.
*(Pierre Restany, A 40° au-dessus de DADA)
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